mercredi 15 avril 2015

SCC5/3 - Bakolela na munoko ya mboka ! Bango nionso !

Nzombo le soir ? ...
On ramasse ses cartes, on les range dans leur boîte (mais on les garde sous la main) ?
Le cul de ma femme mariée, le retour ?
Quel retour après plus de quinze ans d'absence ? La sortie de piste ? La déconnexion ? Le bus 71 a perdu son numéro et erre sur la route de Kpalimé à la recherche de la châtellenie d’Awel et se retrouve accidenté en République autocratique du Luabongo (RAL), dans le Bandundu, sur la route nationale n°1, au point kilométrique 588 ?

Et le retour où ça ? A la maison, epai mwasi na ngai na libala ? Ou le transfèrement dans un appartement suffisamment vaste pour qu'on puisse y jouer au bowling en chaise roulante ? Ou de déménagement chez les Van Oo, à l’Hôtel-Dieu de la châtellenie d’Awel, où je devrai m'efforcer de retrouver les bonnes grâces des caïds de l'établissement :
de Marie d’Aubray, devenue marquise de Brinvilliers, aide-soignante volontaire et adepte du devoir d’ingérence humanitaire…
de Léonard de Vinci, le peintre-armurier, responsable de la section « Q » et empoisonneur de génie…
de nombeux philosophes-conseils, juristes-prostitués, économistes margoulins, écrivains-mercenaires ou éditorialistes-cireurs de pompes, élevés au grain, bien en cour, bien en chair, qui ont jugé plus prudent de venir vieillir au chaud et à l’abri, chez les Van Oo, pour échapper à la justice populaire et à la guillotine…
de Diderot, particulièrement, à qui je m'étais longtemps plu (avec, me reproche Mwana Danzé, une certaine partialité
Nalobi na yo, you're messing the wrong bastard !), à sonner les cloches... Ding-Dong ! Nzing- Nzong ! Bokeba ! Bandoki basili te ! Ebola eye !, pour glacer d'effroi les habitants de la châtellenie d’Awel…
d’Isaac Newton, prophétiseur et alchimiste, cherchant à déterminer la position exacte de l’Enfer dans les comètes…
de Jipéji, le caqueteur et le râleur… Et alors ? Et après ?, mais aussi le donneur de leçons, bonnes ou mauvaises, et le bretteur de mots talentueux à qui je devrais de plates excuses pour irrévérence, goujaterie, soudardise et iconoclastie (me dit Monik Dierckx
, fabricante de pralines offensives, dame d'honneur et chargée de l'organisation des plaisirs de Jipéji)…
et de Rimbaud, le pote de Jipéji … Peut-être ? On peut rêver ? Avant qu'il ne retourne à Marseille pour une dernière traversée ? 


Cet autre Rimbaud qu’on connait moins, le charognard et le ventrier, le mercenaire de la Koninklijk Nederlands-Indisch Leger qui s’était engagé à servir fidèlement le gouvernement néerlandais, le fantassin à l’uniforme bleu couvert de poussières, la vareuse déboutonnée, portant un chapeau à larges bords relevés (mais qu’on pouvait rabattre), épongeant la sueur de son front, puant le sang, la peur, les odeurs de pétrole des « lampes de compagnie »... Et les odeurs des fleurs de tjempaka écrasées sous les lourdes bottes des soldats ? 
L’autre Rimbaud 
-  Un légionnaire "français" en Indochine ou "espagnol"  au Rio de Oro, Douchka ? Un Affreux des bandes armées de Schramme et de Denard au Congo?
- Pareil, petite chérie  !

le troupier d’une expédition punitive de la force publique coloniale hollandaise chargée d’écraser la résistance à l’occupation du royaume d’Aceh. L’autre Rimbaud, aux pieds enflés, aux lèvres boudeuses et déchirées par la malaria, souffrant de la chaleur et de piqûres de moustiques, pestant, râlant et désertant après avoir touché la seconde partie de sa prime. L’autre Rimbaud, le trafiquant d'armes « occasions d'Europe » en Abyssinie, le commerçant de traite et chicoteur de magasiniers à Harrar. L’autre Rimbaud, celui qui s’est tu, le « mundele madesu », le visionnaire rapace d’intérêts boutiquiers. L’autre Rimbaud, cette mayonnaise qui aurait mal tourné... Et c'est seulement la fin qui compte ? 
Une formidable averse s’est abattue sur le campement et a complètement éteint le feu ?

Et, enfin, d'Anne-Antoinette Champion et de toutes ses suivantes et membres de son cabinet :
Madeleine de Puisieux
Louise d'Epinay et sa copine Jeanne-Catherine Quinault
Sophie Volland
Mademoiselle Jodin
Madame Madin
Marguerite Delamarre et Suzanne Simonin
la Maréchale de Broglie dite *** (mais dont il faut néanmoins préciser qu'elle n'est pas apparentée, ni de près, ni de loin, au général***)
Madame de Pompadour et
- Basi ebele, Douchka !
- Flamingo moko ya bien, petite chérie !

Catherine Deux de Russie aux appétits sexuels strangulatoires, impériaux, encyclopédiques et bibliomaniaques

Et le retour de quoi ? Le retour d'un vieux chariot sans marchepieds et sans gardes-crottes pour protéger les passagers et les passants des éclaboussures de bouses de vache et des giclements de gadoue argileuse et parfois sanglante des routes agricoles, des pistes de brousse et des chemins forestiers ?
Serai-je interdit de circuler dans les rues boutiquières et sur les chaussées ré-asphaltées, aux trottoirs fraîchement repavés, de la Châtellenie d'Awel ? Serai-je interdit... Kiekiekiekie ! de RIIIR
 en public ? Qu'est-ce qu'on va faire de moi ? Va-t-on m'hameçonner, me passer à tabac, me mutakaliser, me lobotomiser ?
Serai-je rayé des registres officiels de la Châtellenie d'Awel pour outrage, atteinte à la sûreté de la sorcellerie et à l'honneur de ses dirigeants ? 
Ou pour... Yekyekyekyek ! ricanements obscènes ?
Ou pour incitation à la résistance, à l'irrévérence et à la non-violence active ? Ou pour exposition au ridicule et à l'opprobre des crapuleux et de leurs commanditaires, devenus objets de risée et de mépris ?
Des coups de bals vont-ils me heurter par tout le corps, Chef ?
Va-t-on m'engluer, me jeter un sort, me faire un mauvais parti ? Va-t-on me féticher, m'empicasser, me gbasser ? Va-t-on m’expédier aux urgences de l’hôpital du Cinquantenaire et m’y injecter… Par erreur !, du formol ou toute autre produit servant à l’embaumement des cadavres ?
Va-t-on me poursuivre pour imputations dommageables, allégations infondées et malveillantes, propos tendancieux et travestissement des faits ? Ou pour offense à la  Haute Hiérarchie et à différents sorciers régaliens ? Ou pour apologie du terrorisme, détention d’armes et munitions de guerre (pralines fourrées à la boule puante et cacas Molotov) et tentative de meurtre ? Ou pour vandalisme intellectuel : prise illégale de parole sur le Net, utilisation abusive du micro et des hauts-parleurs d’un supermarché Peloustore appartenant à la famille Ndombasi et entrave au trafic des idées reçues ? Va-t-on m’obliger à m’agenouiller et à tendre la gorge ou à pencher la tête en avant, la nuque à découvert ? Va-t-on m'accuser de décrocher les boules pour mésanges qui pendent à la fenêtre ou aux branches des arbres du jardin ?
Ma femme mariée me rappelle à la réalité et me donne de bons conseils : « Naaaan, m'gamin, tala bien, arrête de bimbimer, ce ne sont pas des bonbons, ce sont des graiiiines et si tu les décroches, m'gamin, tu risques de te faire tirer dessus : attention aux flèches empoisonnées et… Smash ! Schlag ! Whang !, aux carreaux d'arbalète que pourrait t'envoyer la végétarienne fondamentaliste qui sévissait dans certaines séquences de la deuxième série de ton roman, tu l'avais déjà effacée ou oubliée, celle-là ? Et rappelle-toi d'Eulalie Echene. Tu sais bien qu'il n'y a pas d'âge pour mourir de mort violente !
- Hola caracola ! Qu'est-ce que tu facontes ? Tu sais bien que Mamie a été assassinée à 99 ans, non ? Il m'en reste donc encore quatorze à vivre !  Kamème ! Et d'ici là, mam'zelle, nos fieffés enfants (et même nos koko et peut-être aussi les lifanto de nos koko) se seront tous tirés d'affaire, j'imagine ! Et si quoi que ce soit devait m'arriver, tout le monde saura bien qui est le responsable ! Et que ce responsable ne pourra être que le général*** (alias OSS 156)  (et dont le numéro de téléphone, connu de toutes ses victimes, serait le 83 22 064  68) dont je crois utile de rappeler brièvement le signalement : officier général du Saint-Office, de grande taille (1m 85), d'environ 60 ans, de formation juridique, chauve et imberbe, élégant et pas trop empâté (ou dissimulant habilement un début de bide sous un costume bien taillé), portant des lunettes à monture en or, très soigné, amateur de montres de luxe à 6.500 USD (Rolex, Omega ou Tag Heuer) ... 
- Il faut okeba quand même, mon vieux chariot... Oyebi bien qu'avec les prélats du Saint-Office on ne rigole jamais ! Et que les chacals et les hyènes n'aiment pas être observés quand ils mangent et supportent encore moins d'être identifiés (alors qu’ils se déguisaient en chiens du village), débusqués, dévoilés, épiés, écoutés, pris en photos, filmés par des caméras de surveillance, pris en filature sur internet, confondus, mis à nu, décrits dans tous leurs agissements et comportements crapuleux ! Et qu’ils craignent par-dessus tout d’être désignés par leur nom ! Et que plus tu prends de l'âge, plus facilement les bérets noirs, les PM et les instrumentistes du général*** du Saint-Office pourront te pousser dans l'escalier ou dans la cage d'ascenseur ! Ou te faire dégringoler, tête en avant et les mains liées derrière le dos, d'un des échafaudages rongés par la rouille qui étreignent et emprisonnent depuis toujours le Palais de Justice de la ville-région de Bruzout, au Royaume de Jupiler ! Et comme dans le cas d'Eulalie Echene, tout le monde saura que tu vivais encore en apprenant ta mort tout à la fin de ton roman : « Ye nde ! Ohooh ! Mawa vraiment ! Mawa trop ! Ce que c’est que de nous, quand même…» C'est bien ça, ce que tu cherches ? N'oublie pas que tu es toujours mon mari préféré et que ça te donne des obligations ! Je peux encore te dégrader...
- Hola querida ! Kobanga te, Momie na nga, ma douce furieuse ! Oyebi bien ke ndoki aliaka mutu ya liboma te !

Mais cessons d'abracadabrer ! Et nous voici donc arrivés à la fin de la toute dernière séquence de ma nouvelle série des histoires du cul de ma femme mariée...
Et maintenant que Kimya et Leto sont guéries
- Et Mboyo, Douchka ?
- Mboyo mpe!
- Et Lianja ?
- Jamais malade (sauf toujours sa vieille histoire de sinusite) !
 
maintenant que Kangni Alem m'a libéré pu délié de tous mes « engagements » ou « obligations », maintenant que Mopoie et Bangazegino ont enfin retrouvé une liberté qu'un prélat inquisiteur et persécuteur du Saint-Office, le général*** (alias OSS 156) (et dont toutes les victimes ont inscrit le numéro de téléphone sur l'élastique blanc de leurs boxers pour ne jamais l'oublier : 83 22 064  68) et ses complices, constitués en association de malfaiteurs, leur avaient volée depuis tellement longtemps... Tellement de jours, de semaines, de mois, d'années ! Toute une vie ! et maintenant que j'ai terminé d'écrire et que j'ai commencé de diffuser mon buku-praline de façon à rendre justice à deux champions… Parmi tant d'autres ! de l'Etat de droit (national et international), de la liberté d'opinion, de la liberté d'expression et de la lutte contre la torture, la corruption de la justice et toute forme d'arbitraire et à contribuer ainsi, na ndenge na nga, à restituer à des résistants courageux, farouches et déterminés leur dignité bafouée par des crapuleux. Je voudrais qu'on me lâche un peu les baskets, j'ai la tête qui tourne et…
- Fais pas chier, Douchka ! Cesse de brailler comme une dinde élevée, chez les bonne soeurs, dans la culture de la consécration ... mais qui s'indignerait d'être sacrifiée en l'honneur de la populace, un 1er mai ! Mords sur ta chique , quoi !
- Hola guapa, calme-toi ! N'oublie pas que je suis ton mari préféré !
- C'est ça ! Et, toi, n'oublie pas de prendre tes médicaments et de boire un litre d'eau par jour ! As-tu pensé à te laver le nez, à enlever tes points noirs et à couper les poils qui sortent de tes narines ?
- Ohooh ? Et qui donc me préviendra en cas d’invasion de mes voies respiratoires par des fourmis magnans, des chenilles processionnaires ou d’autres bandes armées d’insectes fouisseurs et ravageurs ?

J'ai la tête qui tourne et je me sens crevard, très fatigué. J’ai trop froid et je frissonne ! Et j’ai trop chaud aussi ! Je voudrais me passer un peu d'eau sur le visage, me rafraîchir le melon dans la Masblette, la Diglette ou la Wassoie, rester couché. Je voudrais ne pas devoir me produire, m'exhiber, m'expliquer. Je voudrais simplement qu'on se contente d'accorder à mes aventures de hibou à oreilles de chat l'attention bienveillante, distraite et agacée que les gens de bonne compagnie réservent aux vieux croûtons dont les mots parfois se détachent et s'échappent d'une bouche édentée, en désordre, sans avoir pu être triés aussi soigneusement qu'il l'aurait fallu. 
Mais si mes propos ont été mal interprétés, tant mieux ! C’était fait pour ! Je n'en suis pas confus et ne le regrette pas...

Me voici donc à la fin de mon roman et, dans toutes les langues du monde, ma femme mariée continue de m'emmerder, me traite de parano et devient de plus en plus « Brujana la criticona » ! Et je continue de la préférer
- C'est bien ça le problème, mon vieux chariot !
- Je t’aime, petite chérie !
- Tu as peut-être tort !
- Je t’aime, querida na ngai !
- Tu veux m’approprier ?
- Je t’aime, guapa na ngai !
- Tu veux coqueliquer ?
- Je t’aime, caracola na ngai !
- Tu veux baiser sans payer, c’est ça, vieux dégueulasse ?

Me voici donc à la fin de mon roman...

Le peuple du Luabongo s’est libéré et la fête bat son plein ! 
On rit ! On rit ! On rit !
Kiekiekiekie ! Tozoseka ! Tokufi na koseka ! Panzi ekangami biso !  On se marre et on s'esbaudit ! Kiekiekiekie ! On est pris d'un RIIIR extravagant, dévastateur, jubilatoire, inextinguible et contagieux ! Un RIIIR comme ceux de Kangni  Alem et de Sombo Dibele Awanan ! Kiekiekiekie ! Kiekiekiekiekie ! Kiekie ! Un RIIIR comme ceux de mes vieux amis Charlie Huey, Jamal Tahtah et Thérèse Mangot ! Kiekiekie ! Kiekiekiekiekie ! Un RIIIR impétueux et fracassant dont la force soulève les rivières Mokali, Nsanga, N’Djili, Matete, Kalamu, Funa, Basoko, Bitshaku-Tshaku, Ndolo, Makelele, Lukunga et même la Gombe ou la Nsele tandis que des volées de mangues trop mûres et des orages de cacas Molotov s’abattent ou s’écrasent sur les toits des camps soda, des camps police et des lieux de détention et de mise au secret où se pratique la torture et que les agents des « services », les « Bana Mura » et les corps habillés en bleu et en kaki s’égaillent et se mettent à courir dans tous les sens et changent rapidement de vêtements comme s’ils étaient assaillis par des abeilles ou des fourmis magnans et que les alarmes, les sirènes, les filimbi, les gongs, les cornes et les tambours, les guitares, les trompettes, les saxophones et les cloches des villages et des plantations, des magasins, des mines et des usines, des écoles et des universités retentissent de tous côtés ! Kiekiekiekie ! Un orage de liberté, d'égalité et de fraternité !

On s'offre une énorme rigolade ! Kiekiekiekie ! On se paie une terrible cuite de RIIIR sur fond de supu na tolo, de zododo ou d’alcools fruitiers, épicés ou capiteux, tourbi-tourbi-tourbillonnants, amers ou chaleureux, de toutes les couleurs et de tous les continents : colas du singe, paka-paka, jujubes et corossols, pili-pili et adjoema, goyaves et grenades, litchis et « poilus », kiwis et  mangoustans, maracujas et jalapenos, piments d’Espelette et tomates vertes de Valencia ! On se saoule, on se blinde, on se bourre, on se poivre, on se poile, on se gondole, on se boyaute, on se bidonne, on se dilate, on se fend, on s'étouffe, on s'ébouffe, on s'épouffe, on s'esclaffe, on s'époumone ! Kiekiekiekie ! Tosubi na bilamba na koseka ! On se tape le cul par terre de RIIIR! Comme Robert Muteba Kidiaba, le gardien de but de l’équipe des Léopards ! Comme Mopoie et Bangazegino ! Comme tous les anciens prisonniers politiques de l’Université de Makala aujourd’hui libérés ! On rit à en perdre la raison, à devenir chabraque ou à se réveiller bimbim ! On se pète la rate, la gueule ou la tronche d'un RIIIR triomphal, libératoire, magique et dévoreur ! On glousse, on pisse, on vesse, on pleure, on éjacule ! On tue ! On hurle et on explose ! On meurt ! Le peuple du Luabongo s’est libéré et la fête bat son plein ! Le peuple de Luabongo s’est tiré d’affaire ! Résolument ! Courageusement ! Avec détermination ! Tout le monde rit et danse avec nous ! Kiekiekiekiekie ! Tokufi na koseka !

Sauf le général*** qui, à présent… Comme tous les crapuleux lorsque le vent tourne en leur défaveur ! va se poser en victime et se plaindre partout d'avoir été incompris et traqué par un énergumène, un musengi, un sans-culotte qui ne respecte même pas les autorités instituées par Dieu
et qui l’a barbouillé de poto-poto et qui l’a couvert d'opprobre et de ridicule.

Le général*** ne s’en tirera pas indemne.
Et ceux qui le couvrent et 
- Nini eza réellement sima ya makambo oyo?
ses commanditaires non plus. Et le système sorcier mobimba non plus.
Trouveront-ils un Hôtel-Dieu ou une Résidence Van Oo qui voudra bien les accueillir pour les mettre à l’abri de la justice populaire et de la guillotine ? Une maison de repos et de soins où ils pourront s’allonger sur une chaise longue, regarder la télévision, lire les journaux, jouer aux dames ou aux échecs, se masturber, écrire leurs mémoires et même recevoir des visiteurs ? 

Sans danger ? Innocentés ?

Bakolela na munoko ya mboka ! Bango nionso !





Ndlr : Vous êtes perdu(e)s ?
Et vous vous demandez où trouver un plan de la ville, un menu de la semaine ou une table des matières quelconque… et comment avoir accès à chacune des différentes séries de séquences du buku « sorciers, services et crapuleux » ?
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