Maintenant que
Mopoie et Bangazegino sont libres, j'en fais quoi de mon roman-feuilleton que, jusqu'à présent…
- Mais ça finira par se voir ou se savoir : sept bataillons de séquences et plus de cent cinquante compagnies massées aux frontières et prêtes à déferler sur le Net, ça ne passe pas inaperçu !
je n'avais pas encore pris le risque de diffuser tous azimuts ? J 'en fais quoi de mon roman qui, au départ, avait été conçu comme une « arme de réserve » contre la crapulerie, le mensonge et la manipulation, l'arbitraire et la barbarie. Une arme de réserve pour le cas, nullement improbable, où, malgré la loi d'amnistie, la libération de Mopoie et Bangazegino se trouverait à nouveau bloquée à la suite d'agissements en marge de la loi d'un crapuleux haineux, morbide et rancunier, le général*** (alias OSS 156 ) dont je continue… Pour l'instant ! de taire le nom mais dont je ne me lasserai jamais de célébrer la sournoiserie.
J'en fais quoi alors de mon roman-là, dans ces circonstances-là, maintenant que
- Le sont-ils seulement ? Le sont-ils vraiment ? Le seront-ils jamais ?
Mopoie et Bangaezgino sont libres ?
- Mais ça finira par se voir ou se savoir : sept bataillons de séquences et plus de cent cinquante compagnies massées aux frontières et prêtes à déferler sur le Net, ça ne passe pas inaperçu !
je n'avais pas encore pris le risque de diffuser tous azimuts ? J 'en fais quoi de mon roman qui, au départ, avait été conçu comme une « arme de réserve » contre la crapulerie, le mensonge et la manipulation, l'arbitraire et la barbarie. Une arme de réserve pour le cas, nullement improbable, où, malgré la loi d'amnistie, la libération de Mopoie et Bangazegino se trouverait à nouveau bloquée à la suite d'agissements en marge de la loi d'un crapuleux haineux, morbide et rancunier, le général*** (alias OSS 156 ) dont je continue… Pour l'instant ! de taire le nom mais dont je ne me lasserai jamais de célébrer la sournoiserie.
J'en fais quoi alors de mon roman-là, dans ces circonstances-là, maintenant que
- Le sont-ils seulement ? Le sont-ils vraiment ? Le seront-ils jamais ?
Mopoie et Bangaezgino sont libres ?
JE LE DIFFUSE !
Quoi qu'il arrive, à tout le monde et dans son
intégralité !
Je le diffuuuuuuuuuse ! Pour hier et pour demain ! Pour que les crimes d'hier ne restent pas impunis ! Pour que des histoires de ce genre ne se reproduisent plus demain !
JE LE DIFFUSE ! ATA AVEC UN AN OU DEUX ANS DE RETARD ! C’EST MA RESPONSABILITE VIS-A-VIS DE TOUS CEUX A QUI JE DOIS D’AVOIR ECRIT CE LIVRE, A TOUS CEUX QUI ME L’ONT « INSPIRE » OU QUI M’EN ONT SOUFFLE LES SEQUENCES A L’OREILLE ET DONT JE SUIS LE PORTE-VOIX OU LE HAUT-PARLEUR !
- Ohooh ? Ils sont vraiment trop nombreux, Chef ?
- Affirmatif !
- Et puis, ils ne pensent pas tous pareil et il y a même des sorciers parmi eux ! Comment savoir ? Et on ne peut pas les immobiliser tous, ni les mettre tous dans le même sac, Chef ! L’opération de nettoyage et de tri risque d’être longue et difficile, Chef !
- Affirmatif ! Mais que suggèrent les « services » et les crapuleux ?
- Les « services » préconisent d’ouvrir de nouveaux camps d’internement à l'intérieur du pays, loin des grandes villes, Chef !
- Et les crapuleux ?
- Les crapuleux suggèrent de rajouter une bonne couche de morts aux cimetières existants, Chef !
- Ouais… Ça ferait plutôt mauvais genre et, dans le contexte actuel, on ne peut pas se le permettre ! Mais que disent les philosophes-conseils ?
Je le diffuuuuuuuuuse ! Pour hier et pour demain ! Pour que les crimes d'hier ne restent pas impunis ! Pour que des histoires de ce genre ne se reproduisent plus demain !
JE LE DIFFUSE ! ATA AVEC UN AN OU DEUX ANS DE RETARD ! C’EST MA RESPONSABILITE VIS-A-VIS DE TOUS CEUX A QUI JE DOIS D’AVOIR ECRIT CE LIVRE, A TOUS CEUX QUI ME L’ONT « INSPIRE » OU QUI M’EN ONT SOUFFLE LES SEQUENCES A L’OREILLE ET DONT JE SUIS LE PORTE-VOIX OU LE HAUT-PARLEUR !
- Ohooh ? Ils sont vraiment trop nombreux, Chef ?
- Affirmatif !
- Et puis, ils ne pensent pas tous pareil et il y a même des sorciers parmi eux ! Comment savoir ? Et on ne peut pas les immobiliser tous, ni les mettre tous dans le même sac, Chef ! L’opération de nettoyage et de tri risque d’être longue et difficile, Chef !
- Affirmatif ! Mais que suggèrent les « services » et les crapuleux ?
- Les « services » préconisent d’ouvrir de nouveaux camps d’internement à l'intérieur du pays, loin des grandes villes, Chef !
- Et les crapuleux ?
- Les crapuleux suggèrent de rajouter une bonne couche de morts aux cimetières existants, Chef !
- Ouais… Ça ferait plutôt mauvais genre et, dans le contexte actuel, on ne peut pas se le permettre ! Mais que disent les philosophes-conseils ?
- Ils proposent une solution plus light, Chef :
envoyer les hordes d’insatisfaits, toujours au bord du pillage et du
soulèvement au centre de cantonnement de Kotakoli ! Pour reformatage et
réinsertion ! Et s’y faire oublier et y mourir de faim,
tranquillement !
A TOUS CEUX QUI FIGURENT DANS MES MABANGA, A DESTINATION
DE QUI, EN L’HONNEUR DE QUI OU EN MÉMOIRE J’AI ECRIT CE LIVRE!
Même si, à présent et pour certains, ma praline explosive apparaîtra sans doute comme à un pétard mouillé, une boule puante ne dégageant plus d'odeurs mortelles : infâmantes, déshonorantes, stigmatisantes et ridiculisantes.
Je le diffuse quand même, ce roman-là ! D'une manière ou d'une autre, dans l'état où il se trouve et sans rien chambarder d'essentiel. Je le diffuuuuse donc, ce roman-là ! Na nko ! Et personne ne pourra plus jamais m'en empêcher !
Même si, à présent et pour certains, ma praline explosive apparaîtra sans doute comme à un pétard mouillé, une boule puante ne dégageant plus d'odeurs mortelles : infâmantes, déshonorantes, stigmatisantes et ridiculisantes.
Je le diffuse quand même, ce roman-là ! D'une manière ou d'une autre, dans l'état où il se trouve et sans rien chambarder d'essentiel. Je le diffuuuuse donc, ce roman-là ! Na nko ! Et personne ne pourra plus jamais m'en empêcher !
Je le diffuse pour que les crapuleux ne « s'en
sortent pas comme ça » ! indemnes, tirés d'affaire, auto-blanchis,
auto-absous, auto-pardonnés, sardoniques et persifleurs.
Je le diffuse en veillant néanmoins à gommer certains contours, à flouter certains visages, à effacer même certains noms.
Mais en rappelant que LES RESSORTISSANTS DE LA REPUBLIQUE AUTOCRATIQUE DU LUABANGO, DE LA REPUBLIQUE D'AWOYO ET DU ROYAUME DE JUPILER QUE JE CITE NOMMEMENT DANS MON ROMAN SONT TOUS DES PERSONNES DIGNES D'INTERET ET QUE JE RESPECTE...Mais en faisant savoir aussi, haut et fort, que JE GARDE EN MEMOIRE LES NOMS DES CRAPULEUX ET DE LEURS COMMANDITAIRES ET QUE JE SUIS PRÊT A LES REACTIVER IMMEDIATEMENT. Et à les tambouriner urbi et orbi, en ville et à la campagne et devant toutes les instances, nationales ou internationales, appelées à connaître des violations des droits de l’homme et de l’Etat de droit au cas où la « bête infâme » viendrait à resurgiret à se manifester à nouveau. Au cas, particulièrement, où le général***, le principal crapuleux responsable des malheurs de Mopoie et de Bangazegino, plus inquisiteur et persécuteur que jamais, survivrait au ridicule et à l'opprobre et chercherait à exercer de nouveau son pouvoir de nuisance.
Je le diffuse en veillant néanmoins à gommer certains contours, à flouter certains visages, à effacer même certains noms.
Mais en rappelant que LES RESSORTISSANTS DE LA REPUBLIQUE AUTOCRATIQUE DU LUABANGO, DE LA REPUBLIQUE D'AWOYO ET DU ROYAUME DE JUPILER QUE JE CITE NOMMEMENT DANS MON ROMAN SONT TOUS DES PERSONNES DIGNES D'INTERET ET QUE JE RESPECTE...Mais en faisant savoir aussi, haut et fort, que JE GARDE EN MEMOIRE LES NOMS DES CRAPULEUX ET DE LEURS COMMANDITAIRES ET QUE JE SUIS PRÊT A LES REACTIVER IMMEDIATEMENT. Et à les tambouriner urbi et orbi, en ville et à la campagne et devant toutes les instances, nationales ou internationales, appelées à connaître des violations des droits de l’homme et de l’Etat de droit au cas où la « bête infâme » viendrait à resurgiret à se manifester à nouveau. Au cas, particulièrement, où le général***, le principal crapuleux responsable des malheurs de Mopoie et de Bangazegino, plus inquisiteur et persécuteur que jamais, survivrait au ridicule et à l'opprobre et chercherait à exercer de nouveau son pouvoir de nuisance.
Je diffuse, l'une après l'autre, les différentes séquences de mon bouquin, dans lesquelles je m'attache à décrire le système sorcier. Partout dans le monde. En ce compris au Royaume de Jupiler, en République Awoyolaise et en République autocratique du Luabongo. Par tous les temps et à toutes les époques. En ce compris au début du XXIe siècle.
Je diffuse aussi les différentes séquences de la série 3 "On se demande quand..." dans lesquelles je n'invente (presque) rien et n'imagine (presque) rien et ne rédige (presque) aucune scène :
Qu'il s'agisse de transgressions de la loi dont se
rendent coupables les corps habillés en bleu ou en kaki, de violation
flagrantes des règles et des principes de l'Etat de droit, de « sting
operations » et notamment d' opérations de « targeted killing »
et autres abus de pouvoir et agissements en marge de la loi des
« services » et des crapuleux de tous bords
Qu'il s'agisse des manifestations de colère d'une population qui affronte les pires difficultés et fait l'objet de tracasseries incessantes
Qu'il s'agisse aussi des initiatives que prend cette population, des solutions qu'elle imagine, des RIIIR qui la secouent, des luttes qu'elle mène...
- Qui ça donc, Douchka ? La multitude ? Cette « masse » que dédaignaient déjà Luther, Voltaire et Diderot ?
- Hola caracola ! Hola guapa ! Hola querida ! Ceux-là même, évidemment ! La « masse » elle-même: les « paysans soûlards, ignares et abrutis, taillables et corvéables à merci mais de plus en plus résistants et rebelles des campagnes, toujours suspectés de voler des régimes de noix de palme dans les plantations ou accusés de pratiquer l'agriculture, la pêche, la chasse et la cueillette et de fabriquer du lotoko et du charbon de bois sur les terres et dans les forêts seigneuriales », les « forçats-creuseurs, endurants et pugnaces, maigres mais baraqués, souvent chanvrés, quelquefois paillards et bagarreurs » des carrières et des mines et la « populace de sans emploi, d’élèves et d’étudiants, de combinards et de commissionnaires, d’ouvriers et de petits employés, frondeuse mais ambianceuse, imprévisible et bientôt menaçante» des villes et des cités, ces « hordes d'insatisfaits », toujours au bord du pillage ou du soulèvement...
Qu'il s'agisse des manifestations de colère d'une population qui affronte les pires difficultés et fait l'objet de tracasseries incessantes
Qu'il s'agisse aussi des initiatives que prend cette population, des solutions qu'elle imagine, des RIIIR qui la secouent, des luttes qu'elle mène...
- Qui ça donc, Douchka ? La multitude ? Cette « masse » que dédaignaient déjà Luther, Voltaire et Diderot ?
- Hola caracola ! Hola guapa ! Hola querida ! Ceux-là même, évidemment ! La « masse » elle-même: les « paysans soûlards, ignares et abrutis, taillables et corvéables à merci mais de plus en plus résistants et rebelles des campagnes, toujours suspectés de voler des régimes de noix de palme dans les plantations ou accusés de pratiquer l'agriculture, la pêche, la chasse et la cueillette et de fabriquer du lotoko et du charbon de bois sur les terres et dans les forêts seigneuriales », les « forçats-creuseurs, endurants et pugnaces, maigres mais baraqués, souvent chanvrés, quelquefois paillards et bagarreurs » des carrières et des mines et la « populace de sans emploi, d’élèves et d’étudiants, de combinards et de commissionnaires, d’ouvriers et de petits employés, frondeuse mais ambianceuse, imprévisible et bientôt menaçante» des villes et des cités, ces « hordes d'insatisfaits », toujours au bord du pillage ou du soulèvement...
Ou qu'il s'agisse encore du courage des
« libérables » et de leur détermination à résister et à se battre.
Dans les séquences de la série 3, en effet, je me suis
éloigné de plus en plus de la Lit-té-ra-tu-re, des maquis de l’Awoyo et de la
Châtellenie d'Awel. Je n'ai rien inventé, imaginé ou « rédigé ». Je
me suis contenté de copier-coller et je le revendique !
Ceci dit, je considère qu'une « amnistie » qui
libérerait les victimes d'un système sorcier ne devrait d'aucune manière avoir
pour effet d'innocenter les tortionnaires et les inquisiteurs.
Une loi d'amnistie ne peut pas rendre pas… Ce serait un
comble ! les crapuleux innocents des crimes perpétrés contre leurs
victimes .
Elle ne peut avoir pour effet d'innocenter un prélat inquisiteur et persécuteur du Saint-Office, le général*** (alias OSS 156) qui s'est prévalu de sa formation juridique et de ses hautes fonctions judiciaires pour commettre de graves infractions et donner un semblant de formes légales à des violations flagrantes des droits de l'homme et de la constitution.
Elle ne peut avoir pour effet d'innocenter un prélat inquisiteur et persécuteur du Saint-Office, le général*** (alias OSS 156) qui s'est prévalu de sa formation juridique et de ses hautes fonctions judiciaires pour commettre de graves infractions et donner un semblant de formes légales à des violations flagrantes des droits de l'homme et de la constitution.
Ni lui, ni ses complices : les magistrats félons,
les officiers comploteurs et les fonctionnaires publics corrompus qui se sont
tous rendus coupables de forfaiture, ayant détourné le droit et la justice de
leur finalité, souillé les fonctions qui leur avaient été confiées au nom du
peuple Luabongais et violé la constitution et les lois de la République
autocratique du Luabongo.
Ni même une Malibran...
- Hola caracola ! Je me pose cette question à son propos : La Malibran aurait-elle, dans cette affaire, manqué de courage... ou aurait-elle été instruite directement par la Haute Hiérarchie ? Et pour quelles raisons précises a-t-elle finalement été virée ?
- Pour son manque d’éthique, Douchka ? Pour sa partialité, ses « arbitrages » tendancieux, ses propos insultants, ses décisions scandaleuses, ses connivences secrètes avec le général*** ?
- Pour rien de tout ça évidemment ! Pour rien d’autre, sans doute, que des performances sorcières laissant à désirer : la médiocrité de ses résultats en matière de répression de la contestation, son incapacité à faire taire les chahuts, à maintenir le calme et à maîtriser la contestation dans les bagnes et les prisons de la sorcellerie !
Ni même une Malibran...
- Hola caracola ! Je me pose cette question à son propos : La Malibran aurait-elle, dans cette affaire, manqué de courage... ou aurait-elle été instruite directement par la Haute Hiérarchie ? Et pour quelles raisons précises a-t-elle finalement été virée ?
- Pour son manque d’éthique, Douchka ? Pour sa partialité, ses « arbitrages » tendancieux, ses propos insultants, ses décisions scandaleuses, ses connivences secrètes avec le général*** ?
- Pour rien de tout ça évidemment ! Pour rien d’autre, sans doute, que des performances sorcières laissant à désirer : la médiocrité de ses résultats en matière de répression de la contestation, son incapacité à faire taire les chahuts, à maintenir le calme et à maîtriser la contestation dans les bagnes et les prisons de la sorcellerie !
qui a donné des ordres à des crapuleux, a couvert leurs agissements
en marge de la loi ou les a laissés opérer en toute impunité.
Ni celui qui lui a succédé, M'Bweta, alias Corbillard, dès lors qu'il chante aussi faux que son prédécesseur.
Tous devront tôt ou tard rendre compte des torts qu’ils ont causés au pays dans son ensemble et des infractions qu'ils ont commises à l'endroit de chacune de leurs victimes. Une loi d'amnistie peut-elle avoir pour effet d'innocenter des coupables ? Et d'interdire aux victimes de demander et d’obtenir une juste réparation ?
Ni celui qui lui a succédé, M'Bweta, alias Corbillard, dès lors qu'il chante aussi faux que son prédécesseur.
Tous devront tôt ou tard rendre compte des torts qu’ils ont causés au pays dans son ensemble et des infractions qu'ils ont commises à l'endroit de chacune de leurs victimes. Une loi d'amnistie peut-elle avoir pour effet d'innocenter des coupables ? Et d'interdire aux victimes de demander et d’obtenir une juste réparation ?
Tadam tadaaam ! Batterie, tambours, trompettes et
saxophones ! Guitares solos, guitares rythmiques et guitares basses !
Verckys vole comme un papillon et pique comme une abeille ! Franco attaaaque !
Bassines et casseroles, gongs et maracas, bouteilles de Mongonzo, klaxons,
sifflets et sonnettes de vélo! Simaro Massiya Lutumba perpétue ! Zaïko
Langa Langa, Papa Wemba, Evoloko Joker, Pépé Kallé, King Kester Emeneya,
Werrason, JB Mpiana, Ferré Gola, Fally Ipupa et de nouveau Zaïko Langa Langa
assurent ou disparaissent ! Cris des atalakus ! Ah tala ku,
tala ku mama, zekete zekete ! Course au pouvoir, Kwiti-Kwiti, Nzinzi et
Diarrhée verbale ! Vimba Vimba ! Mama Siska ye wana ! Ya Mado !
Djuna Djanana a pris du champ mais Sexion d'Assaut et Maître Gims (alias Gandhi
Djuna) sont désormais
- Des fois j'fais des choses que j'contrôle pas !
passés à l'offensive !
- Des fois j'fais des choses que j'contrôle pas !
passés à l'offensive !
Bousculades à l'entrée et bagarres à la sortie du
stade ! Explosion de pralines fourrées à la boule puante et lancer de
cacas Molotov !
On va RIIIR !
J’ai donc décidé... Tadam tadaaam ! non seulement de
libérer unilatéralement et inconditionnellement Mopoie et Bangazegino mais
aussi de diffuser intégralement... Ata lelo, ata lobi !, tous azimuts, par d’incessants coups d’épingle ou en
rafales pétaradantes, le roman-feuilleton qu’il rédige au jour le jour,
impatiemment, depuis le 15 décembre 2013, sur le fonctionnement du système
sorcier en République autocratique du Luabongo et sur les tribulations de
Mopoie et Bangazegino et les persécutions dont ces deux irréductibles
résistants à l’arbitraire font l'objet
Pour rétablir la vérité des faits et à restituer leur
honneur à deux victimes de la crapulerie. Et pour couvrir d'opprobre et de
ridicule les crapuleux qui les ont persécutés.
Il ne suffit pas, en effet, de rendre aux gens la liberté volée. Il faut leur restituer leur dignité !
Je décide… Et c’est MA responsabilité ! de diffuser le roman-feuilleton « Sorciers, services et crapuleux » !
Et tout le monde saura très rapidement qui sont Mopoie et Bangazegino et quels sont leurs tortionnaires en chef (avant même les instrumentistes, dénonçons prioritairement ceux qui les commandent, les « auteurs spirituels »)
Il ne suffit pas, en effet, de rendre aux gens la liberté volée. Il faut leur restituer leur dignité !
Je décide… Et c’est MA responsabilité ! de diffuser le roman-feuilleton « Sorciers, services et crapuleux » !
Et tout le monde saura très rapidement qui sont Mopoie et Bangazegino et quels sont leurs tortionnaires en chef (avant même les instrumentistes, dénonçons prioritairement ceux qui les commandent, les « auteurs spirituels »)
Ndlr : Vous êtes perdu(e)s ?
Et vous vous demandez où trouver un plan de la ville, un menu de la semaine ou une table des matières quelconque… et comment avoir accès à chacune des différentes séries de séquences du buku « sorciers, services et crapuleux » ?
Problème ezali te, cliquez sur : http://sosecra.blogspot.be/
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